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Mais voilà :
D’abord je vérifie quel est le calque qui est sélectionné, parce que l’historique est revenu sur l’état antérieur du document.
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Je m’aperçois alors que l’image n’est pas sélectionnée mais que c’est un calque de réglage. Or je ne peux agir que sur l’image. Je dois donc sélectionner l’image :
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Puis je vérifier la largeur de mon pinceau historique (1) par rapport aux poussière en le promenant sur l’image (2) et je peux éventuellement le modifier comme tout pinceau et crayon en cliquant sur « Forme » dans la barre d’outils (3).
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Je n’interviens pas uniquement sur les ciels, je peux intervenir sur d’autres plages de l’image qui ne seront pas affectées par l’intervention du filtre antipoussière. C’est à vous avec l’expérience de voir ce qui est possible. Souvenez vous toujours que vous pouvez revenir en arrière soit avec la commande « ctrl+z » pour l’action précédente, soit dans l’historique s’il s’agit de supprimer plusieurs actions.
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Mais dans certains autres cas le dépoussiérage ne supprime pas complètement la poussière ou introduit trop de flou. C’est le cas dans l’image suivante :
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Dans ce cas je suis amenée à utiliser d’autres outils, qui sont les outils de duplications. Ici je vais utiliser le tampon.
Je sélectionne l’outil tampon (1 )appuie sur la touche « alt » (2)je clique sur l’endroit que je veux dupliquer, le tampon se transforme en cible :
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et je clique sur la forme à éliminer. Le tampon reproduit automatiquement la zone que j’ai sélectionnée.
Là également on peut définir la forme (2 ci-dessous) son diamètre mais aussi la forme extérieure, nette ou floue. Souvent on a intérêt à choisir une forme à bord flou pour que ça se fonde avec le fond.
On a intérêt à changer souvent de source (3 ci-dessous) en cliquant avec « Alt »dans l’image à un point différent pour que le point de tampon (4 ci-dessous) soit plus véridique.
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On peut également utiliser l’outil correcteur qui agit comme le tampon mais qui au lieu de dupliquer bêtement l’image de l’impact choisi, fait interférer les pixels de l’image à dupliquer avec les pixels de l’image dupliquée ce qui fait un savant mélange souvent plus discret :
Notez qu’a tout moment vous pouvez utiliser le pinceau historique, même si entre temps vous avez utilisé un autre outil, genre tampon ou pièce.
Sur cette image, se trouvent des poteaux et des fils électrique. Il se trouve qu’ils font partie de l’atmosphère du diaporama mais si je les jugeait désagréables, je pourrais les faire disparaître rapidement avec la pièce.
La pièce s’utilise comme le lasso.
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On sélectionne la partie que l’on veut éliminer et on va chercher un secteur analogue si possible une plage uniforme. Là nous avons des fils électrique sur un ciel bleu, c’est l’idéal :
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Une fois la zone bouclée la sélection ressemble à celle d’un lasso :
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On déplace la sélection (A) vers une zone assez plane et uniforme ressemblant à la zone à remplacer (B). Lors du déplacement on voit apparaître dans la zone A ce qui est contenu dans la zone B et donc on peut rectifier très exactement la zone à dupliquer. :
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Ainsi les fils électriques peuvent disparaître radicalement. Attention cependant, cette opération se fait en recalculant les pixels voisin et donc il se passe un fondu entre la zone dupliquée et la zone remplacée et les espaces voisins. Ainsi dans l’exemple j’ai pris soin de ne pas approcher de l’arbre. Dans le cas contraire, une partie des pixels sombres de l’arbre auraient déteints sur la zone remplacée :
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Dans ces cas là, il vaut mieux utiliser le tampon. Il suffit avec la pièce d’aller le plus près possible sans toucher puis de parachever l’action avec le tampon. L’outil correcteur provoque les mêmes inconvénients que l’outil pièce. Il faut donc avec l’habitude réfléchir à l’outil le plus approprié à la correction envisagée.
Bien dépoussiérer une diapositive est donc une affaire de patience qu’il est souhaitable de traiter en fin d’opération de numérisation et avec beaucoup d’attention. Je me demande si ce n'est pas plus amusant de passer l'aspirateur chez soi pour enlever la vrai poussière ! |